La police refuse d'empêcher assassiner/battre, après des menaces, que faire ?

RU -  "Полиция отказывается предотвратить убийство / избиение, после угроз, что делать?"   http://vasnas.blogspot.com/2021/06/blog-post.html

SOS !  Un Commanediraire de Russie a engagé un Exécuter qui m'intimide du téléphone français tous les jours, et la police refuse d'empêcher l'assassiner/battres.  Que faire?!

BRIÈVEMENT: Le 02.06.2021 J'ai reçu des menaces de mort sans ambiguïté via Whatsapp de la Russie. Je n'ai pas rempli les exigences du maître chanteur à temps, et après 15 minutes sur Whatsapp, j'ai été intimidé par le "Executor" du téléphone français. Il me fait peur en envoyant des messages étranges, et une carte de la zone où une croix indique l'emplacement de mon camp forestier, où je suis seul sans défense et avec des béquilles. J'ai rapidement donné toutes les informations à la police, mais elle a refusé de faire quoi que ce soit. Je suis bloqué dans les groupes français sur Facebook avec ces informations, la gendarmerie refuse d'aider, la mairie ne répond pas, etc.

Signaler à la police les menaces de coups / meurtre que j'ai reçues.


Contre mon gré, je suis obligé de vivre dans une forêt près de Strasbourg pour la 4ème année https://archive.is/HM0Ke . Malgré le fait que j'ai reçu un permis de séjour 0600T9E2K, j'ai été empêché de recevoir des prestations en espèces et de recevoir un logement social sans explication ni raison http://vasnas.blogspot.com/2021/02/la-vie-apres-la-mort-et-la-repression.html

Le 02.06.2021 du téléphone russe +7 926 275-57-48 j'ai reçu les menaces suivantes : (les insultes ont été supprimées et le texte a été adapté pour être traduit en français)

"... Quand vas-tu mourir !? .... Chaque soir c'est une loterie pour toi, tu réalises ?"

J'ai demandé qui il était et ce qu'il voulait exactement de moi.
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Commanediraire : «Tu le sauras bientôt. Les salutations seront envoyées personnellement. »
Moi : "Qu'est-ce que je découvre ?"

Commandiraire : "Le pouvoir de l'argent et ton insignifiance."

Moi : "Enverras-tu le tueur ?"
Commandiraire : « Un commentaire physique suffit si vous ne comprenez pas les mots. »

Il a en outre exigé que je supprime ma chaîne YouTube.  Je ne peux pas faire ça, car toute ma vie est là. Il y a une vidéo à cause de laquelle je suis réfugié en France https://archive.is/7hF4v ; https://archive.is/CjI11 ; https://archive.is/Qx5gZ Je ne l'ai pas supprimé en Russie, et je ne la supprimerai pas en France, en particulier toute ma chaîne YouTube.

Le 03.06.2021 mon site web (https://archive.is/eIYer / https://archive.is/4z7LL) a subi une attaque Dos https://bit.ly/3fRMIUg et ne fonctionne plus.

Le 04.06.2021, il a fixé la date du début du massacre à 18h de Moscou. 23 minutes plus tard, j'ai reçu un message Whatsapp d'un téléphone français +33 6 05 93 60 44 "Il y a un paquet pour vous. Fournissez vos coordonnées GPS." C'est-à-dire que cette personne ne demande pas d'adresse, sachant où j'habite dans la forêt, mais elle ne sait pas exactement où, parce que j’ai déclaré avoir publié les coordonnées déplacées. J'ai essayé de l'appeler immédiatement sur une connexion cellulaire, mais il n'a pas décroché le téléphone. Le coursier ne peut pas manquer d'avoir une communication cellulaire.  Je n'ai commandé aucun colis, et si j'ai commandé des colis, alors uniquement à l'adresse du bureau de poste. Il ne peut y avoir de telles coïncidences ou erreurs.  C'est soit de l'intimidation, soit le désir d'attaquer, ou les deux. Je nomme cette personne « exécuteur ».

Je pense que le moment est peut-être venu pour les représailles contre moi, et ils essaient de présenter ces représailles comme une épreuve de force domestique.

C'est la base pour créer une légende, pour un tel massacre. Depuis deux ans en Russie, ils essaient d'envoyer ma mère de 81 ans dans une hospice pour vieillards contre son gré et de saisir son appartement. À l'automne 2019, elle est restée allongée pendant un mois après une grave opération - un cancer. Moi, de loin, de France, j'ai aidé ma mère à se rétablir et l'ai empêchée d'être envoyée chez la hospice par la femme de mon défunt frère et des voisins, pendant que mon ami s'occupait d'elle. Comme disait ma mère, elle a été empoisonnée au printemps 2020. Sans raison, sans maladie, elle a immédiatement abandonné gravement et ne pouvait plus marcher, s'est souvent évanouie et est tombée. Nous avons renoncé à la nourriture et à l'eau auxquelles d'autres personnes pouvaient avoir accès, et elle s'est immédiatement sentie mieux. Le cercle des intrus peut inclure des parents à qui cet appartement est légué et, vraisemblablement, des voisins et des personnes sociales.  un ouvrier qui travaillait pour une organisation d'appâts d'insectes et de souris. Le cercle des intrus peut comprendre des proches à qui cet appartement est légué, et, vraisemblablement, des voisins et un travailleuse sociale qui travaillait auparavant pour une organisation d'empoisonnement des insectes et des souris. Ma mère s'est maintenant rétablie et est temporairement hors de danger. Ces proches ont contracté un emprunt important et ils ont un besoin urgent de beaucoup d'argent. L'appartement de ma mère leur est légué.

Je suis obligé de faire et de publier de telles hypothèses, car la police ni en Russie ni en France ne fonctionne comme prévu. Je me souviens du conseil d'un pompier d'appeler au moindre signe de fumée. Les bonnes personnes qui font leur travail correctement sont toujours correctes, sérieuses et rapides. Face à la police française, j'obtiens souvent un refus de prévenir les crimes, la tromperie, le manque de professionnalisme, la paresse et l'impolitesse.

Le 04.06.2021, dès que j'ai reçu la première confirmation du début du massacre contre moi, j'ai appelé la police au tél. 17 et dans un français approximatif je les ai informés que j'avais reçu des menaces de la Russie et qu'un homme de Strasbourg me cherchait déjà d'urgence dans la forêt, où j'ai été contraint de vivre contre mon gré. À cause de cela, en décembre 2020, j'ai perdu la possibilité de quitter le camp par moi-même et je ne peux pas me présenter à la police http://vasnas.blogspot.com/2021/02/comment-et-pourquoi-les-medecins.html . On m'a dit que la police d'Ostwald m'avait été envoyée.

À 10 h 47, les policiers m'ont appelé et m'ont dit qu'ils me cherchaient, mais ne m'ont pas trouvé. Je leur ai demandé de marcher le long du chemin forestier derrière la rue des Faisans et de crier, et je répondrai. Ils ont dit qu'ils criaient, mais ils ne pouvaient pas m'entendre. Je ne les ai pas entendus non plus. Puis j'ai dit que j'irais vers eux. J'ai laissé toutes mes affaires et j'ai décidé de les rencontrer et de les amener au camp, où vous pourrez vous asseoir à l'ombre, car cela me fait mal de rester debout. En chemin, j'ai rencontré un homme qui a dit avoir vu une voiture de police, mais la police n'en est pas sortie. J'ai marché presque jusqu'à la rue avec des béquilles et je les ai vus au coin de la rue. Leur ai-je crié.  Ils sont venus vers moi, deux jeunes hommes, un blanc et un noir, et une vieille femme blanche.

Ils ont vérifié mon ID et j'ai proposé d'aller dans mon camp, car j'avais peur d'être volé par des adolescents d'origine non européenne qui tentent de me voler depuis 4 mois. Ils ont déjà été pris une fois en train de faire ceci : http://vasnas.blogspot.com/2021/01/les-adolescents-ont-vole-la-police.html Maintenant, ils veulent se venger. La dernière fois qu'ils ont essayé de me voler, c'était hier à 19h01. C'est les vacances scolaires maintenant et ils ont plus de temps. Leur tactique est de traquer quand je quitte le camp et de le voler.

Les policiers ont refusé de m'accompagner au camp. Ils semblaient montrer la peur de cette petite forêt de 100 x 200 mètres.  Je leur ai expliqué que toutes mes affaires sont ouvertes.  Ce sont des choses chères qui me permettent de survivre en plein air, ce sont des documents, et juste des choses chères, comme un appareil photo à 400 €, qui se trouve là ouvertement. Ils ont demandé avec incrédulité pourquoi je vis dans la forêt puisque j'ai des choses si chères ? Je n'ai pas pu leur expliquer que je ne bois pas, ne fume pas, ne dépense pas d'argent pour des choses inutiles, mais, malgré tous mes efforts, je ne pouvais pas louer une maison moi-même avant, et maintenant je ne peux pas sortir de la forêt. C'est à cause de la répression contre moi en tant que réfugié sans défense http://vasnas.blogspot.com/2020/11/la-liste-des-crimes-des-autorites.html

Ensuite, j'ai demandé à la police de m'attendre quelques minutes pour que je puisse fermer la tente, mettre en place une alarme et emporter des objets et des documents de valeur et vitaux avec moi.

Ils ont refusé de me laisser partir, affirmant que rien ne serait perdu. Mais quelle responsabilité auraient-ils pour le vol ?! Ils ont refusé de communiquer en anglais. Mon français était insuffisant. Ils ont fait semblant avec grand succès qu'ils ne comprennent pas ce que je dis dans mon français approximatif.

J'ai dit que c'était douloureux pour moi de me tenir debout avec des béquilles. Le policier noir m'a suggéré de m'asseoir sur le parapet de la clôture, mais il n'y avait pas de place pour cela. Tout ce qu'ils faisaient commençait à ressembler à de l'intimidation.

J'ai essayé d'aller à mes affaires pour les garder, mais à chaque fois le policier noir se mettait en travers de mon chemin, et la femme policière âgée m'expliquait qu'ils n'étaient pas obligés de garder mes affaires. Elle a agi comme le "chef spirituel" de ces deux jeunes gars, les transformant de policiers en hooligans qui apprécient leur impolitesse et leur sadisme. Je n'ai jamais laissé mes affaires hors de vue plus de quelques minutes. Mes pensées se tournèrent entièrement vers la tâche de garder mes affaires en sécurité. En voyant ma souffrance, ils s'amusaient clairement.

Je leur ai dit que je ne pouvais pas tout expliquer oralement, mais par écrit je pouvais (comme ici). Je leur ai montré des messages Whatsapp. Ils ont ignoré les messages en russe et n'ont rien trouvé d'inhabituel dans le message en français. Il était important pour eux d'obtenir un refus de ma part de communiquer afin de simplement clore le dossier. Ils m'ont retenu, profitant de mon tourment, et ont exigé de confirmer le refus. J'ai répondu que je ne refusais pas, mais que mon français était tout simplement mauvais et que j'avais besoin de retourner aux choses pour assurer leur sécurité, et donc la mienne, puisque ma survie dans la forêt dépend de ces choses.

Finalement, ils m'ont laissé partir. Je me suis tourné vers la police pour demander de l'aide, mais au lieu de cela, ils m'ont torturé, ce qui m'a rappelé comment les médecins du service des urgences de l'hôpital de Strasbourg m'ont torturé et, par conséquent, n'ont pas empêché une maladie grave http://vasnas.blogspot.com/2020/11/medecine-punitive-en-france-strasbourg.html

Je suis retourné au camp et j'ai de nouveau appelé la police au tél.  17. Le policier de garde m'a dit que ce n'était pas son devoir d'écouter mes explications, qu'il s'est avéré que je refusais de communiquer avec les policiers qui étaient arrivés chez moi et que j'appellerais pour de nouvelles circonstances.

A 14h49, Exécuteur qui m'a demandé mes coordonnées GPS m'a envoyé une carte satellite où le lieu de mon camp était marqué d'une croix avec une grande précision. Il a appelé aux heures suivantes : 10h10, 14h42, 14h42, 14h52, 15h00, 17h15, 17h25. Je l'ai immédiatement rappelé sur ma connexion cellulaire, mais il n'a pas décroché, car de cette façon, je peux enregistrer notre conversation et enregistrer le fait même de la communication. Ceci, en lien avec les menaces précédentes, est en soi de l'intimidation.

J'ai rappelé au tél.  17. Ils m'ont donné le numéro de téléphone du Commissariat de Strasbourg 0390231717. Ils ont refusé de donner leur nom ou de faire quoi que ce soit.

La police m'a appelé sur un numéro caché et m'a donné le numéro de téléphone 0369738770... J'ai appelé, mais mon appel a été transféré, puis à nouveau, puis à nouveau, ils ont donné le numéro 0369738770. J'ai appelé, ils m'ont donné le numéro 036973880. J'ai appelé, ils m'ont parlé, ils m'ont dit d'attendre, mais ils ont raccroché.

Au total, j'ai appelé la police pendant 4 heures sans aucun résultat.

La "Commanditaire" du téléphone russe à 17h16 a écrit que je n’avais pas encore rempli ses exigences et j’ai encore du temps - avant l’attaque sur moi.

J'ai appelé la police et j'ai dit que je recevais des menaces continues et qu'il restait une demi-heure avant l'heure prévue de l'attaque.  Ils m'ont dit qu'ils étaient venus me voir.  Mais j'ai été trompé, personne n'est venu vers moi. Après un long moment, j'ai rappelé, mais ils m'ont dit d'appeler lorsque l'auteur présumé s'est approché de moi.

La police m'a trompé, personne de la police n'est venu me voir, personne ne m'a même demandé les téléphones de ceux qui me menaçaient. On m'a proposé de quitter le camp pendant un moment.  Et la nuit, et demain, et tous les jours ?  N'est-il pas plus facile d'interroger des criminels ? Si quelqu'un recevait de l'argent juste pour venir la nuit et détruire mes tentes, ne le ferait-il pas, pour la deuxième grosse moitié de l'honoraires ?

A l'heure dite d'exécution, ils m'ont laissé dans la forêt tête à tête avec un criminel. C'est une très bonne publicité pour commettre des crimes : voyez comment nous travaillons, nous ne venons que lorsque vous avez déjà commis votre crime.. sinon, comment pouvons-nous rendre compte, si vous n'avez pas encore complètement terminé votre crime et que vous ne l'avez pas tué ?!

"L'Exécuteur" n'est pas venu le 04.06.2021 .  Mais on ne m'avait pas promis que l'attaque aurait lieu le 04.06.21 .  Ils me font savoir que les criminels connaissent ma position exacte et qu'ils peuvent attaquer à tout moment. Voici des captures d'écran https://bit.ly/3pxeGrN

"L'Exécuteur" continue de m'écrire et de m'appeler sur Whatsapp, du matin au soir tous les jours, quand je le rappelle sur une connexion cellulaire, il ne décroche pas.


Comme la dernière fois, j'ai rapidement donné à la police toutes les informations sur les criminels, mais la police a REFUSÉ de faire son travail et a AUSSI falsifié son travail. Ce n'est qu'en m'adressant au public, à l'école, que j'ai pu les faire fonctionner. Ici dans la forêt, je suis complètement sans défense face à toute racaille et toute la responsabilité de ce qui va arriver incombe entièrement à ces policiers.

Je ne sortirai pour rencontrer personne d'autre afin que. l'intimidation ne se reproduise plus.  Si quelqu'un veut me voir, je suis dans mon camp.

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Le 04.06.2021 J'ai laissé une mention n° Dcb281da7b sur le site de l'Etat www.pre-plainte-en-ligne.gouv.fr, mais elle a été ignorée.

Le 06.06.2021 J'ai écrit une lettre de demande d'aide à casastrasbourg@wanadoo.fr, ad67.robertsau@restosducoeur.org, civilsociety@ohchr.org, visit-gva@unog.ch, commissioner@coe.int et d'autres organisations.  Personne ne m'a répondu à l'exception de l'Action Solidarité de Strasbourg, mais leur aide s'est limitée à une visite hebdomadaire avec de petites missions.

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Les personnes qui m'ont menacé de violence étaient mon neveu et sa mère M.(la femme de mon défunt frère). En fin de compte, ils ont exigé que mon compte YouTube soit supprimé. Je suppose que la vraie raison de leurs pitreries diaboliques était que je les ai empêchés d'envoyer ma mère de 81 ans dans une maison de retraite. En Russie, dans de telles institutions, il arrive que des personnes âgées soient victimes d'intimidation avec une issue fatale. L'appartement de la mère leur est légué. Ils ont contracté un emprunt important et en vendant l'appartement, les auraient pu le rembourser plus rapidement. Je me suis battue pour la santé de ma mère, je lui ai envoyé plusieurs colis de médicaments, j'ai demandé à mon amie de s'occuper d'elle et je l'ai appelée tous les jours. Ils ont juste attendu que sa santé se détériore et ont insisté à chaque fois pour l'envoyer dans une maison de retraite. La mère a très peur d'entrer dans une maison de retraite, elle veut mourir en paix.

Ils pouvaient aussi être exaspérés par des vidéos dédiées à la mémoire de mon frère, où je rappelais comment j'avais essayé de sauver la vie de mon frère, mais ni sa femme ni son fils ne m'ont aidé. Ils ont abusé de l'alcool et des cigarettes et la santé de mon frère est devenue critique.  Quand j'ai exprimé mes avertissements directement, ils se sont tous moqués de moi. Au bout d'un an et demi, mon frère est décédé.

Immédiatement après les menaces, M. est tombé malade du coronavirus et a passé 2 mois en soins intensifs, une partie du temps inconscient sous ventilation mécanique. Quand elle s'est améliorée, elle m'a demandé pardon sur Whatsapp. Après avoir appris de ma mère qu'elle gisait inconsciente en réanimation, j'ai volontairement supprimé certaines vidéos qui pouvaient l'agacer.